Interview de Gilbert Collard, président du Comité de Soutien à Marine Le Pen.
09 Septembre 2011

Extraits librement choisis :

Je connais Marine depuis 20 ans, je suis le soutien d'un vieux copain.

Marine a un vrai amour de la France.

Jean-Maris Le Pen est un fou de jeux de mots, jeu de vilains. Je ne fais pas partie de ces gens qui disent que c'est un fasciste.

J'ai toujours milité contre l'Euro.

Les gens de gauche, à l'époque où ils étaient vraiment de gauche et qu'ils aimaient vraiment le peuple, avaient pour priorité de donner du travail au peuple de France.

Mon pays est à l'abandon et il n'y aura pas de solution qui pourra venir, ni de Nicolas Sarkozy qui a monté ses limites, ni de cette gauche menteuse, qui se bat entre elle, et qui donne des leçons de morale tout en violant la morale.

J'ai compris qu'il fallait rejoindre une jeune femme qui est capable de se hisser au niveau du quotidien, qui a le courage d'avenir, ose dire ce que les autres ne disent pas.

Je pense que l'heure de Marine a sonné pour une raison sociologique, il y a eu la France d'en haut, la France d'en bas, la France qui se lève tôt, la France qui se lève tard. Je crois qu'il y a maintenant la France qui en a marre.

Notre volonté est de redonner à l'Etat sa place et permettre aux Français de ne plus se sentir étrangers chez eux.

Je n'ai pas de leçons à recevoir de ces mondains qui ferraillent à coup de petites phrases et de petits gâteaux fourrés.
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